Maladies neurologiques : quand l’IA mesure les écarts de marche
Publié le 18 novembre 2025
Le jeune docteur s’est notamment concentré sur les injections de toxine botulique qui réduit les spasmes musculaires et retonifie la marche. « Cette technique est encore assez expérimentale. Le clinicien ne dispose que de son expérience pour déterminer les doses nécessaires et les zones à cibler. Le machine learning devient alors un véritable outil d’aide à la décision », indique Lorenzo Hermez. Le constat est le même avec certains traitements médicamenteux de la maladie de Parkinson dont les effets ont également été étudiés au cours de cette thèse.
La marche, un processus pas si simple
Pour en arriver là, il a tout d’abord fallu qualifier et quantifier la marche d’un point de vue mathématique et numérique, en commençant par la marche normale. Cette dernière résulte d’un processus complexe qui s’acquiert tout au long de la vie et présente une importante variabilité qu’il fallait également définir. Or, jusqu’à présent, la littérature ne considérait pas ce paramètre. Les données étaient normalisées et ne décrivaient qu’un type de marche normale.
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