Andrea Araldo, chercheur à Télécom SudParis, mène un projet de recherche visant à repenser l’accessibilité des métropoles, en faveur des laissés-pour-compte de la mobilité urbaine.
Les voitures autonomes s’invitent aujourd’hui à la table des débats et dans les travaux des chercheurs. Le point avec Hossam AFIFI, enseignant à Télécom SudParis et membre du laboratoire SAMOVAR.
Issue de la Promotion 2021 de Télécom SudParis, Constance CHOU vient de remporter le Prix Jeunes National André Blanc‐Lapierre, attribué par la Société de l’électricité, de l’électronique et des technologies de l’information et de la communication
Le 20 novembre 2024 sur notre campus d’Evry, l’association étudiante Les Partenariats d’Excellence (LPE) organisent le Global Village, un événement regroupant toutes les nationalités présentes à Télécom SudParis et IMT-BS
Découvrez comment des chercheurs comme Chantal Taconet, Maître de conférence en Informatique à Télécom SudParis, tâchent d’évaluer la durée de vie des objets connectés afin de maximiser les bénéfices environnementaux.
Découvrez la thèse CIFRE sur les véhicules autonomes effectuée au département CITI de Télécom SudParis, en partenariat avec le groupe d’ingénierie SEGULA.
C’est un événement : un article scientifique français accepté à la conférence SOSP 2021 ! Il s’agit de « J-NVM: Off-heap Persistent Objects in Java » par Anatole Lefort et al. de l’équipe de SAMOVAR, dirigée par le Professeur Gaël Thomas à Télécom SudParis (TSP). C’est le 3e papier français en 50 ans.
Hervé Debar, directeur de la recherche à Télécom SudParis, expert en cyber sécurité et membre du conseil scientifique de l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) a été nommé directeur adjoint de l’école en mai 2021. Il nous explique ses ambitions pour l’école.
Les enseignants-chercheurs de la Chaire Valeurs et Politiques des Informations Personnelles ont imaginé un protocole pour les applications e-santé.
Les attaques informatiques ne sont pas un phénomène récent. Le premier vers diffusé sur Internet, dit « Morris worm » du nom de son créateur, a infecté 10 % des 60 000 ordinateurs que comptait Internet à cette période.